Une opération terroriste a été menée ce mercredi 7 janvier dans les locaux du journal néoconservateur français Charlie Hebdo, en pleine réunion de rédaction. Douze personnes ( dessinateurs, journalistes, policiers ) ont été froidement éxécutées par un commando lourdement armé, une vingtaine blessées dont plusieurs grièvement. Le lendemain, deux policiers étaient pris pour cible au sud de Paris. L'une des deux victimes a succombé à ses blessures.
L'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo est considéré en France comme la voix d'une certaine impertinence "orientée". Son ancien directeur, Philippe Val, fut nommé en 2009 à la tête de la radio d'état France Inter sur injonction de Nicolas Sarkozy.
La communication médiatico-policière semble désigner comme responsables quelques uns de ces jeunes français engagés dans le jihad contre le régime nationaliste syrien. Régime que la France et ses alliés islamistes saoudiens et qataris tentent de renverser depuis plus de trois ans, notamment en armant les forces anti nationales et des groupes de fanatiques religieux. Les politiques d'immigration de masse menées depuis des décennies comme ce compagnonage entre les puissances occidentales et les états wahabites du Golfe persique ont abouti à une véritable libanisation de la France, une situation échappant désormais à tout contrôle.
Quoiqu'il en soit, la France a désormais son "11 septembre", et l'on doit s'attendre à une accélération des processus totalitaires déjà en oeuvre dans ce pays. Au programme, censure d'internet, interdictions de spectacles et de manifestations, répression des dissidents et des contestations sociales ,manipulation de l'opinion publique, etc. La liberté d'expression, tant évoquée risque fort d'être la principale victime de l'activisme républicain.
La Corse, terre de "terrorisme", de "violence génétique" et d'insoumission sera n'en doutons pas un instant, particulièrement "choyée", sans que l'islamisme le plus radical qui s'y développe ne soit le moins du monde entravé. Chacun se souvient qu'en juin 2013, l'ambassadeur du Qatar en France, venu "se faire des amis" en Corse était reçu en grande pompe par les municipalités de gauche de Bastia et Aiacciu. Or nul n'ignore que l'émirat est le principal bailleur de fonds des groupes terroristes islamistes internationaux et plus largement, le propagandiste du salafisme le plus rétrograde, vivier naturel du jihadisme.
L'on remarquera par ailleurs que les manifestations spontanées d'émotion et de solidarité avec les victimes des tueries ont été opportunément dirigées vers les préfectures d'Aiacciu et de Bastia, symboles de l'Etat Français en Corse. Une manière subtile de lier notre peuple au "problème français".
Le salafisme et le chaos qu'il engendre sont le résultat d'un modèle de société mondialiste imposé aux peuples européens, contre leur volonté et en rupture avec un héritage civilisationnel helleno-chrétien fondé sur l'harmonie de l'Ordre et de la Liberté, de la Foi et de la Raison. Un modèle de société importé chez nous par la France et dont il incombe aux Corses de se libérer au plus vite . Pour l'avenir nos enfants.
Avant qu'il ne soit trop tard, larguons les amarres !
A Squadra