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      Le mercredi 22 février au Spaziu culturale Natale Luciani à partir de 14h, le Centre Culturel Universitaire vous invite à (re)découvrir l’homme et son œuvre à travers les regards que portent sur lui des intervenants de divers horizons : universitaires, écrivains, musiciens. Cette rencontre sera l’occasion d’une table-ronde avec le public.

Mercredi 22 février 2012 à 14h
Regards sur H.P. Lovecraft
Spaziu culturale Natale Luciani, Campus Mariani


Nouvelliste, romancier, poète, épistolier, critique, rêveur, Howard Philips Lovecraft (1890-1937) est considéré comme un des plus grands auteurs fantastiques du XXe siècle. Originaire de Providence, dans le Rhode Island, il ne quitta guère sa Nouvelle-Angleterre natale durant sa vie et en fit le théâtre nostalgique et inquiétant de son œuvre. Il dépassa cet enracinement par une prolixité littéraire hors du commun. Relativement ignoré de son vivant voire oublié après sa disparition, HPL (ce trigramme est reconnaissable entre tous) bénéficie aujourd’hui d’une renommée mondiale. Son influence sur le fantastique, saluée par les plus grands maîtres du genre, fait de lui une figure littéraire incontournable qui occupe une place unique dans de nombreux aspects de la « pop culture » : bande-dessinée, cinéma, jeux, etc.

Avec la participation de Florence Mattei, enseignante à l’Université de Corse ; Mathieu Graziani, enseignant à l’Université de Corse ; Frédéric Antonpietri, chanteur et musicien et Marcu Biancarelli, écrivain.

 

 

 

 

         Venez nombreux découvrir H.P. LOVECRAFT , un immense ecrivain , anti-humaniste , anti -moderne ,  et politiquement incorrect .

 

 

 " La masse des Juifs contemporains est sans espoir, du moins en ce qui concerne l'Amérique. Ils sont le produit d'un sang étranger et sont les héritiers d'idéaux, de pulsions et d'émotions étrangers qui excluent pour de bon leur totale assimilation... De notre côté, il y a une répugnance à nous faire frissonner quand il s'agit de la plupart des races sémites... Ainsi, où que le Juif errant erre, il devra se satisfaire de sa propre société jusqu'à ce qu'il disparaisse ou qu'il soit balayé par une explosion soudaine due à notre détestation pour lui. Je me suis déjà senti capable d'en massacrer une vingtaine ou deux dans les bouchons du métro de New York..... "

  • H.P. Lovecraft Letters From New York, S.T. Joshi, éd. éd. San Francisco: Night Shade., 2005, p. voir lettre à Lillian D. Clark, 6 janvier 1926, N° 60

 

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